Maud Thiefaine
Après des débuts en amateur et une formation en tournage puis en émail en Puisaye,
Maud Thiéfaine a vécu et travaillé plusieurs années à la Borne, dans le Berry, ou elle
affine sa technique et oriente son travail vers la cuisson au bois. Elle poursuit aujourd’hui son travail entre La Borne et Tournus, le long de la Saône, où elle a mis au point son propre four avec une joyeuse équipe de copains.
Au terme de céramiste elle préfère celui de potière, celle qui fait des pots, des objets du quotidien.
Ses formes sont simples, épurées, rustiques mais délicates à la fois, on peut y lire les
gestes du tournage, la position de sa main lors de l’émaillage, les strates de colombin. Ses émaux, qui sont en permanente évolution, se composent de peu d’ingrédients, peu
d’artifices, pour laisser toute la place à la magie du feu, à sa chimie, à sa matière.
Du bolinet à la table, de toutes tailles et de tout usages, il y a, à chaque étape de ses
créations, un plaisir et une sensualité qu’elle essaye de transmettre à celui qui tient l’objet fini entre ses mains.
Maud Thiéfaine a vécu et travaillé plusieurs années à la Borne, dans le Berry, ou elle
affine sa technique et oriente son travail vers la cuisson au bois. Elle poursuit aujourd’hui son travail entre La Borne et Tournus, le long de la Saône, où elle a mis au point son propre four avec une joyeuse équipe de copains.
Au terme de céramiste elle préfère celui de potière, celle qui fait des pots, des objets du quotidien.
Ses formes sont simples, épurées, rustiques mais délicates à la fois, on peut y lire les
gestes du tournage, la position de sa main lors de l’émaillage, les strates de colombin. Ses émaux, qui sont en permanente évolution, se composent de peu d’ingrédients, peu
d’artifices, pour laisser toute la place à la magie du feu, à sa chimie, à sa matière.
Du bolinet à la table, de toutes tailles et de tout usages, il y a, à chaque étape de ses
créations, un plaisir et une sensualité qu’elle essaye de transmettre à celui qui tient l’objet fini entre ses mains.
Elle cuit au bois l'intégralité de ses pièces mais dans deux fours différents. Une production de vaisselle émaillée dans un four de cuisson courte (12-14h) et une cuisson anagama (5jours) pour des pièces plus marquées par la flamme.